Après le "Wynn" il lui restait un peu d'argent, il en a fait "encore" un.
encore et encore
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Encore Fifi, et c'est pas fini.
Fifi et le stratosphère hôtel dans le fond.
Cascade du Wynn
Le Venetian
Avec ses gondoles électriques.
Le canard n'est pas factice.
Fifi également.
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Le campanile de la tour Saint Marc à Las Vegas n'est somme toute que 80
ans plus récente que l'original de Venise qui fut achevé en 1912,
aprés l'éfondrement en 1902 de la précédente.
Fifi et la fontaine "vénitienne".
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Fifi en femme pirate. Elle a beau serrer les dents, on y croit pas trop.
Un vieu loup de mer, "mon oeil".
Là ! On reconnait bien Fifi, (le verre à la main).
Le Strip.
Notre Hôtel. Le "LVH" donc le Las Vegas Hôtel. Le moins que l'on puisse
dire c'est que les communiquants manquaient vraiment d'imagination.
Je ne parle pas de celui qui s'appel le "The Hôtel".
Parking du Spring Reserve avec des panneaux solaires pour protéger les
voitures du soleil du désert, et fabriquer de l'électricité,
bien pensé quand même.
"Las Vegas Springs Preserve", est une réserve naturelle touristique de 73 hectares.
Un véritable havre de paix à proximité immédiate de la débauche sonore visuel et autre de Las Vegas.
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Fifi jouant sa starlette sur des sièges champignon.
Magnifique parasol.
Fleur d'un cactées.
Joshua Tree, et Fifi voulant l'imiter.
Derniers mails à l'hôtel LVH
Décollage de Las Vegas.
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Golf à Las Vegas
Survol du Lac Meade, on repère bien sur la frange côtière la diminution du niveau d'eau.
Un dernier selfie, (égoportrait) en Canadien.
Pendant que tous le monde dort dans le triple 7, Fifi exécute un pas de
danse pour se détendre et éviter le "syndrome de la classe économique".
C'est un de ses
secrets pour garder la forme el la jeunesse que tous le monde lui connaît.
Après avoir accompagné Fifi vers son VAC "véhicule avec chauffeur", je
me prépare à prendre le TGV pour remonter sur Lille pendant une heure de
nostalgie. Ma place
se trouve être dans le wagon des supporters de Brive la gaillarde se
rendant à Lille pour les demi-finales du Top 14 au stade pierre-Mauroy.
Oublié la nostalgie, oublié la pizza
papier à cigarette acheté à Montréal, Cela commence par un verre de
"gnôle" (je ne sais plus très bien), du vin, de la vraie baguette dont je révais
depuis trois mois, du reblochon, du pâté de Corrèze, du jambon de
pays, la fête. Je ne pouvais pas mieux tomber comme retour au pays.
